Monday 30 April 2012

Deuxième jour : Caminho di Claudio Couthino.
Voilà, en réalité j'ai oublié de mentionner le fait que la maison se trouve au pied d'un monument carioca renomé : Le Pain de Sucre.
Forts de nos quelques mots de portugais supplémentaires, nous nous décidons à sortir de l'appartement pour nous y rendre. L'oncle d'Allegra ne manquant pas d'ironiser sur mon bronzage d'apparat, nous nous lançons à l'assaut du colosse de pierre. L'accès au funiculaire coute 53R$  (20€). C'est décidé, nous entreprenons l'ascension à pieds ! Finalement, certainement faute de matériel, nous ne sommes pas parvenus en haut mais nous avons vu de belles choses (et des pigeons) :















Dopo dodici ore di estrema sofferenza l'aereo atterra. Prndere un caffè all'aereoporto è un'impresa inaspettata, non sappiamo una parola di portoghese e il nostro improbabile spagnolo non fa che peggiorare la situazione..!
Fatta un'ora di coda riusciamo a prendere il taxi e ci avviamo verso Urca dove ci aspetta Pigio.
Pecorrendo la strada ci sorprende una distesa di case, non c'è un centimetro libero, mattoni, scale, fili, case una  sopra l'altra, non si vedono persone ma solo loro tracce, vestiti appesi ovunque, oggetti accatastati. Dopo qualche secondo scopro qualche strada, sembra sterrata, e ecco gente per le vie. Sono tutte le favelas che costeggiano la strada sulla costa est.
Arrivati a Urca, viette e alberi, dimore di piccoli macacos rampanti, incontriamo Pigio in moto:aveva accompagnato Anita a scuola.
Atterrati alle cinque di mattina, e dopo aver passato la notte in bianco, decidiamo, ormai alle otto e mezza, di cominciare. Prime mete Copacabana, Ipanema e rispettivi quartieri, Lagoa....


A peine débarqués de l'avion, première prise de contact avec l'Amérique du Sud et avec Rio.
L'autoroute qui relie l'aéroport international au magnifique quartier d'Urca, où nous nous rendons pour retrouver l'oncle d'Allegra, traverse la plus grande favella bresilienne. Les mansardes colorées se chevauchent à perte de vue et s'enfoncent dans les reliefs surréalistes de la ville.
C'est toujours étrange de débarquer dans un pays dont on ne connait rien et dont la maitrise que l'on a de la langue se résume à l'initiation pour demeurés que propose le routard.
D'ailleurs, le dernier repère que l'on pensait avoir, est décapité à l'aéroport. là au café ! On se rend compte que le portugais brésilien ne ressemble à rien de familier, meme pas au portugais portugais. Et puis dans cet aéroport international, personne ne parle anglais. Le regard incrédule de la serveuse qui suit ma tentative de prononciation suscite ma première rencontre. Le client suivant me porte un secours inespéré et se propose de faire l'interprete après m'avoir adressé un "French ?" dégoulinant d'ironie.  Lost in translation !
Le taxi, lui aussi se moquera gentiment de nous. Bref, pour le premier jour on se résoud à l'inévitable, ca sera tourisme de masse, plages d'Ipanema et Copacabana :